Rejoignez notre aventure sur Instagram !
Suivez-nous pour des exclusivités, des mises à jour et plongez au cœur de l’odyssée Un Océan en Héritage

Archipel des Açores

Au large de l’île de Pico, dans l’archipel des Açores, Alexis et son équipe partent à la recherche d’un animal dont l’histoire est chargée de légendes : le cachalot.

Dans ce paysage de montagnes immergées et de forts courants, la vie sous-marine est dense, foisonnante. Pour en préserver l’équilibre, le gouvernement des Açores a récemment créé la plus vaste aire marine protégée de l’Atlantique Nord.

C’est ici, à la croisée des routes migratoires, que Malou découvre pour la première fois le rythme d’une mission en mer et la relation complexe qui lie l’océan et les hommes. Car le mythe du cachalot s’ancre aussi dans le récit de ceux qui l’ont longtemps traqué. Il y a moins de quarante ans, on le chassait encore depuis de simples canots. Devenus guides ou vigies, les anciens harponneurs sont toujours là et leur mémoire accompagne ceux qui, comme Malou, apprennent à lire l’océan.

Au fil de leur quête, Alexis et Malou vont suivre les cachalots dans leurs longues plongées, jusqu’à la pénombre des grandes profondeurs, là où se joue l’un des face-à-face les plus secrets de l’océan : la traque du calmar géant.

Norvège

C’est au cœur de l’hiver, dans les fjords du nord de la Norvège, que l’équipe s’immerge pour documenter un moment de

grâce : la convergence spectaculaire des bancs de harengs, des orques et des baleines à bosse.

Aux côtés d’Alexis, Malou poursuit son apprentissage. Elle découvre ce que signifie plonger en eau froide, le calme nécessaire pour entrer dans une scène de chasse, entourée des plus grands prédateurs de l’océan.

Orques et baleines déploient des stratégies insoupçonnées, coordonnées, d’une précision fascinante. Le ballet est précis, fulgurant. Et derrière sa beauté, une forme d’équilibre, maintenu de justesse. Si les cétacés sont là, c’est que les harengs le sont encore. Mais la pêche industrielle rôde, les bruits des moteurs aussi. Dans ce huis clos de glace et de vie, chaque perturbation compte.

Sous la lumière crépusculaire de l’hiver arctique, Alexis et Malou cherchent à capter cette force intacte. Pour en garder la trace, et mieux la raconter.

Polynésie française – Archipel des Tuamotu

Au cœur des Tuamotu, certains atolls semblent échapper au temps. Haraiki, Tepoto Sud… Des noms presque oubliés, posés sur l’océan comme des secrets. Ici, il n’y a ni port, ni route, ni village. Parfois, pas même une trace humaine. C’est dans ces lagons reculés, battus par la houle et reliés à l’océan par de rares passes, que l’équipe entame une nouvelle mission – une véritable exploration, dans des eaux que nul n’a jamais vraiment documentées. Sous la surface, la vie s’organise autour du courant. À l’entrée des passes, des bancs compacts de perches pagaie convergent pour frayer. Des milliers de poissons synchronisent leurs mouvements dans une chorégraphie rythmée par la lune et le flux des marées. Et dans l’ombre, des dizaines de requins attendent. Gris, à pointes noires, marteaux : trop longtemps diabolisés, ils jouent pourtant un rôle essentiel : celui de régulateurs, garants de l’équilibre de tout un écosystème.

Mais même ici, dans ces territoires éloignés, quelque chose vacille. Le corail blanchit, les espèces se raréfient, les algues gagnent du terrain. Fragilisé par un climat qui se dérègle, le sanctuaire s’effrite.

Pour Malou et Alexis, il s’agit de documenter ces zones inexplorées, de raconter ce qui se joue loin des regards – et les menaces qui avancent, même au bout du monde.

États-Unis – Californie

Il y a près de 13 000 ans, les premiers peuples de la mer atteignaient l’Amérique en suivant une trajectoire singulière, aujourd’hui connue sous le nom d’autoroute du kelp. Un corridor providentiel, regorgeant de vie, qui leur offrait de quoi avancer, se nourrir et qui, aujourd’hui encore, pulse sous la surface.

En Californie s’étendent les plus vastes forêts de kelp au monde. Des jungles sous-marines de plus de cinquante mètres de haut. Là, seuls quelques rayons de lumière parviennent à filtrer, à travers la canopée. Cachées sous la surface, ces forêts constituent pourtant l’un des écosystèmes les plus riches de notre planète.

Sur toute sa hauteur, d’étage en étage, la forêt abrite une ville vivante : une cité sous la mer où tout circule, se cache, se nourrit. Dans une valse ininterrompue, les poissons en bancs serrés croisent les otaries à fourrure. Rasant les fonds jonchés d’oursins, d’ophiures et d’étoiles de mer, quelques requins solitaires patrouillent à l’ombre des frondes. Dans le ciel d’algues, l’imposante silhouette d’une baleine grise s’invite dans le décor et son petit, tout juste né, joue dans son sillage. Pour eux, la forêt constitue la route la plus sûre dans leur long voyage vers l’Arctique.

Mais sous cette surface vibrante, l’équilibre vacille. La disparition progressive des loutres laisse les oursins se multiplier et dévorer le kelp tandis que le réchauffement des eaux ralentit sa croissance. Ici, les déséquilibres s’installent vite et peu à peu, des pans entiers de forêt se transforment en déserts. Au cœur de ce dédale végétal, Alexis et Malou s’immergent pour raconter à leur manière l’histoire d’un monde ancien, au bord de la bascule.

Afrique du Sud

Chaque hiver austral, des milliards de sardines remontent la côte Est de l’Afrique du Sud, portées par un courant froid venu du large. Sur plus de 1 500 kilomètres, la mer s’obscurcit de bancs compacts, mouvants. Une armée de prédateurs s’organise : dauphins, requins, fous du Cap, rorquals… tous convergent vers cette manne passagère, donnant lieu à des scènes de chasse fulgurantes.

Parmi eux, un chasseur plus discret : le manchot du Cap. Ultime représentant des manchots d’Afrique, il accompagne cette migration chaque année, fidèle au rendez-vous depuis des millénaires. Dans cette chasse orchestrée à grande échelle, les espèces coopèrent. Les manchots rabattent les sardines vers la surface, facilitant l’assaut des otaries, requins et oiseaux plongeurs. Un rôle indispensable pour tout l’écosystème.

Mais depuis quelques décennies, les sardines se font plus rares. Le dérèglement climatique et la surpêche déplacent les bancs, perturbent les cycles. Et avec elles, les manchots disparaissent. À Bird Island, dans la baie d’Algoa, l’une des dernières grandes colonies d’Afrique du Sud s’accroche encore. Mais ici, le vacarme des cargos brouille les repères, désoriente la chasse.

Pour Alexis et Malou, il y a urgence. Leur mission : alerter en images sur cette disparition rapide pour essayer de sauver ce qu’il reste d’une espèce emblématique, au cœur de la plus grande migration du règne animal.

Archipel des Açores

De retour aux Açores, là où tout a commencé, Alexis et son équipe entament leur ultime mission de cette première saison.

Ici, les volcans ne se dressent pas seulement vers le ciel : ils s’enfoncent aussi dans les profondeurs, formant des reliefs invisibles, mais vertigineuses. Sous la surface, les interstices de la roche laissent échapper d’immenses colonnes de bulles, et les tombants plongent à pic vers l’obscurité des abysses. Là, enfouies dans le noir, des cheminées hydrothermales projettent des fluides brûlants, acides, à plusieurs centaines de degrés.

Et pourtant c’est ici, dans cet environnement extrême, coupé de la lumière, que tout aurait commencé. Sur les pentes de ces volcans engloutis se cache peut-être la réponse à l’une des plus grandes énigmes de la science : l’origine de la vie. Au cœur de ces structures instables, le sol tremble parfois sans prévenir. Et tandis que la Science cherche encore à comprendre ce monde insaisissable, les convoitises grandissent quant à l’exploitation des minerais, particulièrement abondants au pied des sites volcaniques.

Pour percer les mystères des volcans sous-marins, Alexis et Malou devront embarquer à bord d’un submersible, et descendre jusqu’à près de deux mille mètres sous la surface. Au plus près des entrailles de la Terre.

Rejoignez notre aventure sur Instagram !

Suivez-nous pour des exclusivités, des mises à jour et plongez au cœur de l’odyssée Un Océan en Héritage
Une forêt sous la mer
États-Unis – Californie

Il y a près de 13 000 ans, les premiers peuples de la mer atteignaient l’Amérique en suivant une trajectoire singulière, aujourd’hui connue sous le nom d’autoroute du kelp. Un corridor providentiel, regorgeant de vie, qui leur offrait de quoi avancer, se nourrir et qui, aujourd’hui encore, pulse sous la surface.

En Californie s’étendent les plus vastes forêts de kelp au monde. Des jungles sous-marines de plus de cinquante mètres de haut. Là, seuls quelques rayons de lumière parviennent à filtrer, à travers la canopée. Cachées sous la surface, ces forêts constituent pourtant l’un des écosystèmes les plus riches de notre planète.

Sur toute sa hauteur, d’étage en étage, la forêt abrite une ville vivante : une cité sous la mer où tout circule, se cache, se nourrit. Dans une valse ininterrompue, les poissons en bancs serrés croisent les otaries à fourrure. Rasant les fonds jonchés d’oursins, d’ophiures et d’étoiles de mer, quelques requins solitaires patrouillent à l’ombre des frondes. Dans le ciel d’algues, l’imposante silhouette d’une baleine grise s’invite dans le décor et son petit, tout juste né, joue dans son sillage. Pour eux, la forêt constitue la route la plus sûre dans leur long voyage vers l’Arctique.

Mais sous cette surface vibrante, l’équilibre vacille. La disparition progressive des loutres laisse les oursins se multiplier et dévorer le kelp tandis que le réchauffement des eaux ralentit sa croissance. Ici, les déséquilibres s’installent vite et peu à peu, des pans entiers de forêt se transforment en déserts. Au cœur de ce dédale végétal, Alexis et Malou s’immergent pour raconter à leur manière l’histoire d’un monde ancien, au bord de la bascule.

Le royaume des Orques
Norvège

C’est au cœur de l’hiver, dans les fjords du nord de la Norvège, que l’équipe s’immerge pour documenter un moment de grâce : la convergence spectaculaire des bancs de harengs, des orques et des baleines à bosse.

Aux côtés d’Alexis, Malou poursuit son apprentissage. Elle découvre ce que signifie plonger en eau froide, le calme nécessaire pour entrer dans une scène de chasse, entourée des plus grands prédateurs de l’océan.

Orques et baleines déploient des stratégies insoupçonnées, coordonnées, d’une précision fascinante. Le ballet est précis, fulgurant. Et derrière sa beauté, une forme d’équilibre, maintenu de justesse. Si les cétacés sont là, c’est que les harengs le sont encore. Mais la pêche industrielle rôde, les bruits des moteurs aussi. Dans ce huis clos de glace et de vie, chaque perturbation compte.

Les derniers manchots du Cap
Afrique du Sud

Chaque hiver austral, des milliards de sardines remontent la côte Est de l’Afrique du Sud, portées par un courant froid venu du large. Sur plus de 1 500 kilomètres, la mer s’obscurcit de bancs compacts, mouvants. Une armée de prédateurs s’organise : dauphins, requins, fous du Cap, rorquals… tous convergent vers cette manne passagère, donnant lieu à des scènes de chasse fulgurantes.

Parmi eux, un chasseur plus discret : le manchot du Cap. Ultime représentant des manchots d’Afrique, il accompagne cette migration chaque année, fidèle au rendez-vous depuis des millénaires. Dans cette chasse orchestrée à grande échelle, les espèces coopèrent. Les manchots rabattent les sardines vers la surface, facilitant l’assaut des otaries, requins et oiseaux plongeurs. Un rôle indispensable pour tout l’écosystème.

Mais depuis quelques décennies, les sardines se font plus rares. Le dérèglement climatique et la surpêche déplacent les bancs, perturbent les cycles. Et avec elles, les manchots disparaissent. À Bird Island, dans la baie d’Algoa, l’une des dernières grandes colonies d’Afrique du Sud s’accroche encore. Mais ici, le vacarme des cargos brouille les repères, désoriente la chasse.

Pour Alexis et Malou, il y a urgence. Leur mission : alerter en images sur cette disparition rapide pour essayer de sauver ce qu’il reste d’une espèce emblématique, au cœur de la plus grande migration du règne animal.

Les atolls du bout du monde
Polynésie française – Archipel des Tuamotu

Au cœur des Tuamotu, certains atolls semblent échapper au temps. Haraiki, Tepoto Sud… Des noms presque oubliés, posés sur l’océan comme des secrets. Ici, il n’y a ni port, ni route, ni village. Parfois, pas même une trace humaine. C’est dans ces lagons reculés, battus par la houle et reliés à l’océan par de rares passes, que l’équipe entame une nouvelle mission – une véritable exploration, dans des eaux que nul n’a jamais vraiment documentées.

Sous la surface, la vie s’organise autour du courant. À l’entrée des passes, des bancs compacts de perches pagaie convergent pour frayer. Des milliers de poissons synchronisent leurs mouvements dans une chorégraphie rythmée par la lune et le flux des marées. Et dans l’ombre, des dizaines de requins attendent. Gris, à pointes noires, marteaux : trop longtemps diabolisés, ils jouent pourtant un rôle essentiel : celui de régulateurs, garants de l’équilibre de tout un écosystème.

Mais même ici, dans ces territoires éloignés, quelque chose vacille. Le corail blanchit, les espèces se raréfient, les algues gagnent du terrain. Fragilisé par un climat qui se dérègle, le sanctuaire s’effrite.

Pour Malou et Alexis, il s’agit de documenter ces zones inexplorées, de raconter ce qui se joue loin des regards – et les menaces qui avancent, même au bout du monde. 

20 000 volcans sous la mer
Archipel des Açores

De retour aux Açores, là où tout a commencé, Alexis et son équipe entament leur ultime mission de cette première saison.

Ici, les volcans ne se dressent pas seulement vers le ciel : ils s’enfoncent aussi dans les profondeurs, formant des reliefs invisibles, mais vertigineuses. Sous la surface, les interstices de la roche laissent échapper d’immenses colonnes de bulles, et les tombants plongent à pic vers l’obscurité des abysses. Là, enfouies dans le noir, des cheminées hydrothermales projettent des fluides brûlants, acides, à plusieurs centaines de degrés.

Et pourtant c’est ici, dans cet environnement extrême, coupé de la lumière, que tout aurait commencé. Sur les pentes de ces volcans engloutis se cache peut-être la réponse à l’une des plus grandes énigmes de la science : l’origine de la vie. Au cœur de ces structures instables, le sol tremble parfois sans prévenir. Et tandis que la Science cherche encore à comprendre ce monde insaisissable, les convoitises grandissent quant à l’exploitation des minerais, particulièrement abondants au pied des sites volcaniques.

Pour percer les mystères des volcans sous-marins, Alexis et Malou devront embarquer à bord d’un submersible, et descendre jusqu’à près de deux mille mètres sous la surface. Au plus près des entrailles de la Terre.

Sur les traces du cachalot
Archipel des Açores

Au large de l’île de Pico, dans l’archipel des Açores, Alexis et son équipe partent à la recherche d’un animal dont l’histoire est chargée de légendes : le cachalot.

Dans ce paysage de montagnes immergées et de forts courants, la vie sous-marine est dense, foisonnante. Pour en préserver l’équilibre, le gouvernement des Açores a récemment créé la plus vaste aire marine protégée de l’Atlantique Nord.

C’est ici, à la croisée des routes migratoires, que Malou découvre pour la première fois le rythme d’une mission en mer et la relation complexe qui lie l’océan et les hommes.
Car le mythe du cachalot s’ancre aussi dans le récit de ceux qui l’ont longtemps traqué. Il y a moins de quarante ans, on le chassait encore depuis de simples canots. Devenus guides ou vigies, les anciens harponneurs sont toujours là et leur mémoire accompagne ceux qui, comme Malou, apprennent à lire l’océan.

Inscrivez-vous à notre newsletter